Conseil du 31 Janvier 2013 : décision fumeuse

Pour ce premier conseil de l'année, le maire a fait un point sur différents sujets d'actualité de la commune :

-        Situation de la population Rom : le campement proche de Villebon 2, non viable, est maintenant abandonné. Nous ne pouvons que nous féliciter de cette évolution qui a été obtenue par un engagement tant des autorités que de différents mouvements associatifs. La situation à l'usine Galland avec la présence d'une population nombreuse et pour laquelle les plans d'intégration ne semblent pas faciles est plus préoccupante.

-        Lancement de la plaquette du PLU avec une réunion publique en prévision : les informations sont fournies de manière très parcellaire que ce soit pour les citoyens ou pour les élus qui découvrent la plaquette lors du conseil municipal. La majorité municipale ayant beaucoup d'expérience en matière de PLU préfère gérer cela directement.

 Sur les décisions municipales, nous relevons une décision étonnante : 7000€ en mise à disposition de cendriers pour les manifestations organisées par la mairie tout au long de l'année. Espérons que les fumeurs en feront bon usage. Il ne faudrait pas que cet argent parte en fumée.

 La délibération relative à l'évolution des coûts des travaux à l’École de la Roche, qui avait été retirée en décembre dernier car très mal préparée, est représentée. L'augmentation des dépenses par rapport aux premières prévisions est importante mais est justifiée par un certain nombre d'éléments. Les élus de la liste « Ensemble pour Villebon » votent pour.

  Une autre délibération porte sur le partenariat avec le département. L'obtention du concours financier du département dans certains projets portés par la ville passe par l'approbation du diagnostic du contrat territorial et un engagement vis-à-vis de l'égalité entre les femmes et les hommes dans la vie locale, ainsi qu'un engagement à «construire et subventionner durable ». Des élus sont désignés pour ces deux engagements spécifiques : Madame Dominique Rousseau pour l'aspect égalité femme-homme et M. Sirot pour l'aspect développement durable. Ayant déjà plusieurs fois entendu la philippique de M. Sirot contre les circulations douces et en particulier son a priori contre les déplacements urbains à deux roues, nous anticipons déjà qu'il va traiter ce sujet avec la plus grande attention.